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Les enjeux de la scolarisation :
- 1° Le besoin de scolarisation.
- 2° Financement des écoliers.
- 3° Soutien scolaire.
- 4° Choisir une bonne école
- 5° Orientation pour l'avenir
1° Le besoin de scolarisation :
L'insertion sociale de tout être humain passe par l'apprentissage des rudiments scolaire.
La société actuelle donnant plus d'estime aux personnes diplômées qu'aux illettrées, et ce, même quand ces dernières ont acquis de grandes
compétences, fruit de longues années d'expérience. Raison pour laquelle, l'école est devenue un "passage obligé" pour la réussite professionnelle.
2° Financement des écoliers :
L'entrée à l'école dès la maternelle requiert un minimum de soutien financier, indispensable pour l'achat de
manuels scolaires et autres matériaux didactiques. Dans plusieurs pays, ce sont les parents qui prennent en charge la totalité des frais scolaires
de leurs progénitures. L'état et les communes se chargeant de récolter les bénéfices de l'utilisation des établissements dits : "publics".
Il y a aussi des associations et des bénévoles qui font du
soutien scolaire leur apanage.
3° Cours de rattrapage :
Les élèves n'ayant pas tous le même QI, génétique oblige, il y a lieu d'instaurer des sessions de suivi pédagogiques pour les moins bien
lotis.
Afin qu'ils ne soient pas "largués", mais qu'ils aient une réelle opportunité de coller le peloton de tête.
C'est pourquoi de nombreux parents n'hésitent pas à faires suivre leurs enfants par des profs à domicile.
4° Choisir une bonne école :
Les écoles les plus chères ne sont pas forcément les meilleures !
D'où la nécessité d'investiguer sur le niveau réel de l'établissement où l'on voudrait placer son enfant.
Savoir éviter les pièges des "écoles de stars" et des "écoles à la une".
Le taux de réussite au BAC peut révéler la valeur d'un établissement scolaire, en se basant sur la moyenne du pourcentage de réussite des
pensionnaires.
5° Orientation pour l'avenir :
De nombreux systèmes scolaires proposent un cycle d'orientation - CO, en sigle - basé sur le niveau de l'élève dans les matières principales,
telles que les mathématiques, les langues ou les sciences.
Cependant, ce système d'orientation est à revoir, afin de tenir compte les aspirations professionnelles de l'enfant.
Par exemple : un surdoué en math peut tout aussi bien avoir la vocation de travailleur social, et vis versa, un élève moyen peut aspirer au métier
de chercheur.
D'où l'obligation de ne pas "étouffer" les motivations par des considérations traditionnelles pour ne pas dire archaïques.
La nouvelle règle devrait être : "Laisser l'enfant choisir ce qu'il veut, tout en tenant compte de ce qu'il vaut".
Écrit par Lordy, journaliste indépendant.
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